Les pays du monde entier ont conclu, lundi, un accord historique à Montréal, au Canada, pour enrayer la destruction de la biodiversité et de ses ressources, indispensables à l’humanité...
Cependant, il n’y a pas encore de dispositif contraignant, ce qui marque une timide percée. Percée tout de même.
C’est un « Pacte de paix avec la Nature » qu’une industrialisation agressive menace de toutes parts. L’accord vise à protéger 30 % de la planète, de restaurer un tiers des écosystèmes, de réduire de moitié les risques liés aux pesticides, de doubler les financements globaux en faveur de la protection de la nature.
Cet accord a le mérite d’exister. Il faut s’y agripper et le parfaire au fur et à mesure.